J’ai commencé à écrire parce que je n’arrivais plus à mettre de mots sur ce que je vivais.

Écrire m’a aidée à démêler l’intérieur, à retrouver du sens dans ce qui semblait flou, à faire de la place pour entendre ce que je n’écoutais plus vraiment.

Au début, je ne partageais rien. C’était intime, nécessaire, brut.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que ces mots résonneraient chez d’autres. Que ce que je croyais profondément personnel venait toucher quelque chose d’universel.

Une fatigue, un trop-plein, un besoin d’alignement, ce moment si particulier où l’on comprend que continuer comme avant n’est plus une option.

Aujourd’hui, j’écris chaque lundi matin pour celles et ceux qui ne cherchent pas des réponses toutes faites mais un espace où penser autrement.

J’écris pour celles et ceux qui veulent se comprendre, vraiment, sans jugement ni masque, pour celles et ceux qui veulent faire bouger des choses à l’intérieur pour ne plus se sentir en décalage avec leur vie.

Je ne donne pas de recettes. Mais je partage des expériences, des idées, des invitations à explorer ce qui bloque, ce qui demande de l’attention, ce qui appelle à changer.

Ce sont des lettres qui n’imposent rien mais qui ouvrent.

Et si mes mots te permettent, même un instant, de te recentrer, de respirer ou de poser un choix plus juste pour toi, alors l’essentiel est là.